Nos livres font parler d'eux
Communautés juives de Montréal (Les)
Portant à la fois un regard historique, religieux, sociologique et communautaire sur le judaïsme montréalais, ce livre, rédigé dans un langage clair et convivial, est donc susceptible d'intéresser à la fois les néophytes désireux de s'initier à l'univers du judaïsme que les étudiants et les chercheurs qui souhaitent se référer rapidement à une source de données diversifiées et bien documentées.
Stéphanie Tremblay, Archives de Sciences Sociales des ReligionsCanada-Québec
Ce bouquin est magnifiquement illustré de nombreuses cartes, de photographies en noir et blanc ainsi qu'en couleurs, compte aussi des tableaux synchroniques de même qu'un index des noms propres. Source exceptionnelle d'informations, il devrait faire partie de la bibliothèque de tous ceux et celles qui veulent comprendre le présent.
Raymond Ouimet, Divines tentations (Radio-Canada)Petit guide des élections présidentielles américaines 2012
Je ne saurais trop vous recommander de mettre la main sur ce petit guide.
Philippe Marcoux, C'est bien meilleur le matin (Radio-Canada)Séminaire Saint-Joseph de Trois-Rivières. 1860-2010 (Le)
Jean Panneton nous livre un ouvrage, bien illustré, qui dépasse le catalogue en nous proposant une histoire de cette institution essentielle dans le développement de Trois-Rivières et de la région.
Brigitte Caulier, Revue d'histoire urbaineRéfugiés acadiens en France, 1758-1785 (Les)
Jean-François Mouhot has produced a carefully researched and closely argued monograph which has an importance that transcends its focus and time period.
Ged Martin, British Journal of Canadian StudiesMonsieur Olivier
Monsieur Olivier est le récit imagé et charmant d'un homme dévoué tant envers les Sauvages qu'envers sa famille, l'histoire d'une entreprise périlleuse, mais bientôt florissante. Un portrait d'un monsieur Olivier noble, vertueux et débrouillard qui enchantera la nombreuse descendance des Tardif d'Amérique.
Christian Vachon, Le LibrairePour en finir avec le sexe
Pour en finir avec le sexe ne passe pas par quatre chemins, c'est le moins qu'on puisse dire! Caroline Allard, qu'on a aimé dans Les Chroniques d'une mère indigne, revient ici avec sa plume ludique et un sujet qui lui va bien : le sexe, et tout ce qu'il implique de comique.
Stéphany Gagnon, Le journal économiqueChaque automne j'ai envie de mourir
Les livres qui prennent aux tripes sont plus rares qu'on le pense. Chaque automne j'ai envie de mourir en est un.
Avec leur écriture fine très proche de l'oralité, les auteurs manient habilement les changements de rythme et de ton en accord avec chaque récit. Surtout, ils font une espèce de tour d'horizon d'humanité tellement émouvant qu'on a la gorge nouée deux fois sur trois. On ne ressort pas de ce livre indemne : il y a dans Chaque automne de la nostalgie, de la hargne, de la peur, de l'humour, de la tendresse et beaucoup, beaucoup d'amour - amour fou, éperdu, perdu, infini, déçu.
Un travail d'orfèvre, solide et brillant, dont le principal défaut est d'être beaucoup trop court.
Josée Lapointe, La PresseNouvelle-France au fil des édits (La)
Pour connaître le genre d'édits, d'ordonnances, d'arrêtés, de lois et de règlements qui avaient cours en Nouvelle-France, il fallait jusqu'à tout récemment fouiller dans divers fonds d'archives. Tel n'est plus le cas depuis que Philippe Fournier a publié un inventaire exhaustif et détaillé de tous ces documents qui régentaient la vie des paysans sous le Régime français.
Paul-François Sylvestre, Le RégionalFourrures et forêts métissèrent les Montagnais
L'ouvrage se veut donc une passionnante présentation de cette population qui démontre aux lecteurs que l'on peut facilement dépasser la réalisation d'une simple filiation, pour les amener à tenter de comprendre l'évolution de la famille. Ainsi, ils découvriront une nouvelle réalité de ces pionniers partis à l'aventure, souvent à la découverte de nouveaux défis.
Jacques Fortin, L'AncêtreChaque automne j'ai envie de mourir
Ces confidences furtives, livrées par des acteurs, étaient condamnées à l'éphémère. Jusqu'à ce que Septentrion demande à leurs auteurs de les réunir en autant de courts chapitres pour un livre dont le titre évoque autant le secret intime que l'appel à l'aide mystérieux.
Le résultat est stupéfiant. L'écriture est magnifique, sensible, touchante... Mais l'oeuvre vibre surtout d'une humanité bouleversante en raison de sa profonde résonance.
Eric Moreault, Le SoleilHiver à Cape Cod (L')
Un récit émouvant qui porte à réflexion sur le monde de l'enfant et le rôle de parent dans un monde où la réussite est de mise.
Marie-Josée Turgeon, Sympatico.caChaque automne j'ai envie de mourir
Le franc-parler des narrateurs (chacun à leur manière, avec leur langue propre) et la nature même de chaque confession m'ont charmée. Un livre qui met en scène des âmes comme la vôtre et comme la mienne : profondes, blessées, tourmentées, qui assument, d'autres un peu moins, résignées, en paix, nostalgiques, compatissantes... Lourdes, mais belles.
Sylvianne Blanchette, Librairie VaugeoisUn léger désir de rouge
C'est un roman qui, comme un parfum, va vous séduire. On a l'impression de sentir une odeur avec plusieurs notes. Des notes aigres-douces, des notes coups de poing.
Iris Teste, CIBL (le 4@6)Marie-Anne
Un livre d'histoire qui se lit comme un roman... C'est une histoire fascinante et véridique.
Marie-Pierre Michaud, Axion MagazineDepuis les cendres
L'idée du manque est vraiment bien amenée. Toute en pudeur. C'est touchant et très réussi. Un livre troublant. L'écriture est très métaphorique, pleine de belles images.
Aude Jimenez, Radio-Canada International (Tam Tam Canada)