Nos livres font parler d'eux

Jardins et potagers en Nouvelle-France

Voilà une façon très ludique de s'ouvrir à l'histoire de la Nouvelle-France ! Une histoire du quotidien vraiment passionnante !

Lucie Ledoux, Planète Québec

À table en Nouvelle-France

Voici un livre magnifiquement illustré, en papier glacé, à laisser traîner sur la table basse du salon pour la curiosité des convives, ou à utiliser dans la cuisine lorsqu'on veut faire une véritable soupe aux pois ou découvrir ce que nos ancêtres mangeaient.

Lucie Ledoux, Planète Québec

Quand le vent faisait tourner les moulins

Courrez vite vous procurer ce magnifique livre ! Vous ne le regretterez pas, car vous y apprendrez tout ce qu'il faut savoir sur les moulins.


Bien qu'il s'agisse d'un ouvrage scientifique rigoureux, ce livre est aussi destiné à un large public puisqu'il est écrit simplement. L'auteure de ces lignes est, de fait, passée de néophyte à passionnée des moulins à vent !

Lucie Ledoux, Planète Québec

Onontio le médiateur

Très fouillée, cette reconstitution historique n'en est pas moins fascinante. Avec, au passage, l'enterrement discret de certains mythes de notre post-modernité, comme celui du bon sauvage et du méchant blanc. Après tout, les uns et les autres n'ont jamais été que des humains impliqués dans un rapport de force, qui n'excluait pas la complicité et les alliances intéressées. Ce livre nous en apprend beaucoup à ce sujet.

René Tessier, Pastorale Québec

Journal d'un Fils de la Liberté. 1838-1855 [NE]

Jamais la tyrannie n'est plus dangereuse, prévient Amédée Papineau, que lorsqu'elle s'affuble du masque de la libéralité. Voilà l'une des phrases incisives qui font le charme du Journal d'un fils de la liberté, dont l'érudit Georges Aubin nous offre une édition considérablement revue et augmentée par rapport à la première (1998).

Michel Lapierre, Le Devoir

Bacchus en Canada

Un livre amusant et très intéressant.

Marie-Pierre Michaud, Axion Magazine

Passion Japon

Passion Japon est un livre fascinant. Ce qu'on y apprend est incroyable. Valérie Harvey nous donne le goût de sauter dans le premier avion pour le Japon.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

J'écris parce que je chante mal

Tantôt drôles, tantôt touchantes, tantôt attendrissantes, ces petites tranches de vie nous font réaliser à quel point c'est le regard que l'on porte sur la vie qui la fait si attachante. Et si on s'offrait le luxe de voir le verre à moitié plein plutôt qu'à moitié vide... Tout est finalement une question de perspective !

Pierre Turbis, FM 103,3 (Longueuil)

J'écris parce que je chante mal

Dans la foulée des mères indignes et des taxis la nuit, ce jeune prof et (jeune) papa est aussi un observateur vigilant. On appelle ça un écrivain quand en plus il sait raconter. Heureusement qu'il le fait d'ailleurs. Ses billets et sa douce ironie, réunis sous cette jaquette rouge, séduisent même ceux qui sont allergiques au genre.

Josée Blanchette, Le Devoir

Étienne Chartier

Une page de notre histoire écrite brillamment par Gilles Boileau.

Suzanne Ferland, CTB-TV

Bacchus en Canada

Un document touffu, bourré de références sur la consommation de boissons alcooliques de nos ancêtres.


Un livre étonnant, une brique de 405 pages, dont 70 pages de notes explicatives, fort heureusement regroupées à la fin du volume.

Marc-André Gagnon, Vin Québec

Réfugiés acadiens en France, 1758-1785 (Les)

Ce livre consacré à la grande déportation des Acadiens bouscule les idées reçues sur la manière dont la France a pu les accueillir.


Difficile à la lecture de cette épopée de ne pas faire le parallèle avec un autre grand dérangement, plus proche de nous. Il y a cinquante ans, l'administration française avait dû faire face à une première vague de rapatriement de colons, près d'un million de Pieds-Noirs contraints de quitter l'Algérie. Moins de trente ans après leur arrivée, les Acadiens, ne parvenant pas à s'intégrer dans la société, retournèrent en Amérique du Nord. En plein milieu du XVIIIe siècle, la société française était déjà traversée par cette question d 'actualité : Qu'est-ce qu'être français.

Jean-Michel Gouin, La Nouvelle République

À table en Nouvelle-France

Tant pour ses recettes que pour les informations qu'il offre sur l'alimentation au XVIIe et XVIIIe siècles, ce livre se révèle fascinant. On déboulonne certains mythes (pensons seulement aux colons français qu'on soupçonne à tort d'avoir adopté les habitudes alimentaires des Amérindiens), explique l'origine de certains goûts tel que celui pour le sucre qui s'implante avec l'arrivée des Anglais et comment des aliments aujourd'hui fort répandus se sont imposés en Nouvelle-France.


C'est donc un livre à acheter, ne serait-ce que pour se faire une idée de ce que pouvait manger nos ancêtres et essayer les recettes - délicieuses d'ailleurs - de cette époque.

Alex Tremblay, CHYZ 94,3

Bacchus en Canada

Elle portait de grands espoirs vinicoles, qu'elle a déçus les uns après les autres. Mais la Nouvelle-France n'est pas restée abstinente pour autant. Selon l'historienne Catherine Ferland, les canadiens de l'époque avaient même accès à une plus grande diversité de boissons que les Français, souvent confinés, pour s'approvisionner, à leur vignoble local. En fait, l'alcool a joué un rôle majeur dans le développement de la colonie, au point qu'il aurait pu complètement changer la face du continent.

Caroline Monpetit, Le Devoir

Bacchus en Canada

Entreprise fort originale que celle de retracer l'histoire de nos ancêtres à partir de leur consommation d'alcool ! Au carrefour de l'histoire et de l'anthropologie, l'ouvrage porte un regard inédit sur les pratiques culturelles de l'époque.

David Murray, Le Délivré (librairie Monet)

Joseph-Elzéar Bernier

L'originalité du personnage, l'abondance des illustrations, la précision des cartes géographiques de même que la qualité de l'écriture font de cette biographie un ouvrage captivant.

Léo Beaudoin, Montréal en tête

Jacques Labrie. Écrits et correspondance

Cette étude, qui comble un vide, fait revivre une étonnante personnalité de la première moitié du 19e siècle au Bas-Canada.


Jonathan Lemire offre une précieuse pièce aux amateurs de notre histoire.

Léo Beaudoin, Montréal en tête

Réfugiés acadiens en France, 1758-1785 (Les)

Le grand récit acadien, tel qu'il est nourri de part et d'autre de l'Atlantique, est bousculé par l'historien Jean-François Mouhot qui s'appuie sur des sources inédites.

Pauline Lumeau, L'Actualité Poitou-Charente

Année des Anglais NE (L')

Ceux qui disent volontiers que nous n'avons jamais connu la guerre auraient intérêt à lire ce livre de Gaston Deschênes dont la documentation est riche. Grâce à cet historien, nous en savons un peu plus sur cette longue Guerre de Sept Ans qu'on résume trop facilement par une bataille perdue Montcalm qui pourtant, avec Lévis, furent plusieurs fois vainqueurs.


Le lecteur aura aussi le plaisir de lire un beau livre, bien de la manière du Septentrion avec son iconographie originale et généreuse, ses encarts instructifs sur les actants des deux côtés de l'Histoire.

André Gaulin, Bulletin de l'amicale des anciens parlementaires du Québec

À table en Nouvelle-France

Saviez-vous qu'à son décès en 1760, l'évêque de Québec possédait 7 livres de truffes dans son garde-manger ? C'est, entre autres, ce que nous apprend l'historien Yvon Desloges dans cet ouvrage bien documenté , attrayant avec ses illustrations en couleurs et son papier glacé, et d'une lecture agréable. Desloges dresse un portrait clair et précis de ce qui se consommait en nos contrées entre le début du XVIIe et la fin du XVIIIe siècle, au fil des influences des divers groupes culturels, tant amérindiens que français ou anglais. Le tout est complété par une quarantaine de recettes concoctées chez le paysan, au palais du gouverneur, dans les couvents, chez les curés et même chez l'aubergiste.

Yves Guillet, Le Libraire

Bacchus en Canada

L'auteure est parvenue à créer un portrait juste des habitudes de consommation de nos ancêtres. Son étude est à lire pour quiconque s'intéresse à notre histoire, qui ne s'est pas uniquement construite lors de grandes batailles.

La rédaction, Le Libraire

À table en Nouvelle-France

Ceux pour qui l'histoire est une science qui se veut rébarbative et empreinte de phrases toutes faites vont comme d'habitude en prendre pour leur rhume. Personnellement, je trouve que cette tentative de Septentrion de démystifier la table de nos ancêtres est extrêmement intéressante.


Une très bonne présentation des recettes, avec un paragraphe sur le contexte de la recette dans l'histoire, apporte de l'information supplémentaire.


Le livre est superbement décoré de toiles d'époque tirées du vieux continent. Cette forme d'illustrations justifie joliment bien le propos.

Mario Landerman, Zone Culture

Essence de la vie (L’)

Ce livre se veut un parcours en quête d'une spiritualité personnelle. Comme le souligne l'auteure, son parcours n'est pas une panacée universelle. Mais, et c'est la beauté de ce petit ouvrage, chacun peut y prendre ce qui lui convient et l'adapter à sa propre spiritualité.


Prenez le temps de feuilleter L'Essence de la vie. Andréa Richard n'a pas réponse à tout, mais ce n'est pas le but de son ouvrage. Cependant, le trésor de sagesse qu'il renferme dépasse très largement le prix de vente !

Mario Landerman, Zone Culture

Enthéos

Dans une ambiance teintée de gris, Julie Gravel-Richard nous rend très bien ce questionnement où des jeunes cherchent la place que peut occuper Dieu dans cette société qui nous en éloigne.

L'univers perturbé du personnage qui contraste avec le style fluide de l'auteure sont la source de la grand force de prégnance du roman. La lecture d'Enthéos nous renvoie à notre propre réalité : les difficultés d'entendre la Voie et ce, même dans les moments noirs de nos vies.

Valérie Gagnon, Pastorale Québec

Pont de Québec | nouvelle édition (Le)

De lecture facile, abondamment illustré, nourri de témoignages et de chansons, ce livre nous révèle comment cette construction a été portée fièrement par ses travailleurs, leurs familles, toute la population de Québec et ses environs.

La lecture de ce livre change notre regard sur le Pont de Québec qui est certes un lien routier important mais surtout une oeuvre qui témoigne de la fierté de nos ancêtres.

Monique Bédard Grégoire, Pastorale Québec

Boréal Express 1524-1760 (Le)

Juste à entendre le nom Boréal Express et cela éveille en moi des souvenirs des années 70, de salles de classe d'école polyvalente, des souvenirs plaisants pour l'amateur d'histoire que j'étais et que je demeure. La publication d'un journal d'histoire du Canada par les trifluviens Boulet, Lacoursière et Vaugeois fut cataloguée d'idée folle en 1961, je serais tenté de désigner de la même façon la réédition, en 2009, du Boréal Express.

Un album impressionnant, captivant, pas du tout dépassé quant au contenu. Le Boréal Express est un album à laisser traîner dans le salon, le bureau, un ouvrage qu'on feuillette plusieurs fois, qu'on savoure tranquillement, et qui nous étonne à chaque exploration. Je ne peux qu'applaudir cette sortie de la retraite.

Christian Vachon, Librairie Pantoute

Communautés religieuses au Québec (Les)

Ce livre se lit fort bien et nous redit tout bonnement une partie de notre histoire. Il apporte aussi une lumière nouvelle à la contribution de l'Église au développement du Québec.

Daniel Gauvreau, Pastorale Québec

Année des Anglais NE (L')

L'iconographie remarquable, judicieusement représentée (cartes ou détails de cartes toujours lisibles parce que sur une seule page, avec des légendes précises) plaira aux lecteurs paresseux comme aux plus exigeants. Pour autant, il ne faudrait pas négliger la qualité du texte de Deschênes.

De tous les livres publiés récemment au Québec sur 1759, c'est le meilleur.

Yves Tremblay, Bulletin d'histoire politique

Lettres de femmes au XIXe siècle

Pour le lecteur simplement curieux, une promenade dans ces lettres de femmes offre beaucoup de divertissement. Cette façon d'entrer dans l'Histoire est complémentaire à l'autre, celle qu'offrent les livres officiels. Cette fois-ci, cependant, c'est à partir du quotidien que nous visitons nos aïeuls. Ces lettres étaient privées, elles sont dégagées de tout aspect prétentieux que peut parfois contenir une correspondance faite pour être publiée.

Lucie Ledoux, Planète Québec