Nos livres font parler d'eux
Malcolm Fraser
Jean-Claude Massé brosse un portrait captivant de cet homme d'exception.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comSouvenirs fragmentés d'un Juif montréalais
C'est écrit sur un mode très vivant, très en proximité avec le lecteur comme s'il écrivait pour vous seul. Il est de surcroît un excellent conteur. C'est une heureuse initiative de la maison d'édition Septentrion de faire la part belle à la connaissance de la communauté juive.
Daniel Rolland, Culture Hebdo.comTrajectoire (La)
On aime haïr ce "maudit Français" tant le narrateur est désagréable. En revanche, on sympathise avec lui quand il est question de son fils ou de sa découverte, à 40 ans, que les gens autour de lui n'existent pas pour le faire "chi...", mais pour partager leur existence et la sienne.
Jean-François Crépeau, Le Canada françaisLettres de femmes au XIXe siècle
J'ai pris énormément de plaisir à découvrir ces femmes d'un temps passé, à grappiller ici et là quelques unes de leurs phrases, à en relire certaines autres qui m'ont particulièrement plu. Certaines lettres sont tout à fait charmantes alors que d'autres sont profondément émouvantes. Ceux qui aiment l'histoire et surtout celle des femmes trouveront ici un ouvrage passionnant et très riche sur la vie quotidienne des femmes au XIXe siècle. Recueil qui trouve un écho dans notre vie d'aujourd'hui.
Geneviève Bolduc, La bibliothèque d'AllieFais ce que dois
Un excellent ouvrage digne de mention, susceptible d'intéresser autant les politiciens que les historiens.
Jeannine Ouellet, Histoire QuébecDévorante (La)
Un roman qui se lit posément comme une suite de courts fragments, ou d'une seule traite, comme le vent fou et fluide d'un été tourmenté. Bien que la thématique soit très exploitée (le célibat, la solitude et la quête d'amour), Lynda Dion en donne une lecture particulière, par sa plume racée, la structure particulière du livre (on s'habitue vite à l'absence de virgules et de points) et la singularité du personnage. L'actualité du propos, les ruptures narratives, l'habileté à manier les mots autant dans les pauses plus poétiques que dans la narration "efficace" font de La Dévorante un roman où il faut être constamment aux aguets. Pour justement ne pas céder à la tentation de lire trop vite et accepter une chute un peu banale mais pleine de sens.
Steve Bergeron, La TribuneSouvenirs fragmentés d'un Juif montréalais
Dans ce récit émouvant, David Reich nous livre ici son témoignage de vie en toute humilité.
Joane Charron, Vizzion50Dévorante (La)
Raconté sous forme de petits récits de quelques pages, le roman nous happe immédiatement. On a l'impression que cette femme existe réellement et nous sommes facilement touchés par ce qu'elle nous raconte. Certains passages sont carrément succulents, cocasses, mais toujours vrais... Les chapitres sont présentés sans ponctuation. Ce qui peu être un peu surprenant au début s'avère particulièrement intéressant par la suite. C'est véritablement sous un feu roulant que l'on parcoure les quelques centaines de pages du livre.
Billy Robinson, Côté Blogue.ca (Archambault)Souvenirs fragmentés d'un Juif montréalais
Un récit juste et touchant.
, Radio Ville-MarieÀ la hache et au scalpel
Honte à moi qui crus que lire les éditoriaux de Gérard Filion et d'André Laurendeau pouvait être ennuyeux, c'est tout à fait le contraire... c'est passionnant. C'est renversant de plaisir.
Joël Le Bigot, Samedi et rien d'autre (Radio-Canada)Déjà
Très juste. Touchant. Une humilité parcourt tout le roman. Ce n'est jamais condescendant. Je vous le recommande.
Iris Teste, CIBL (le 4@6)Dévorante (La)
Ce qui l'est moins, banal, c'est l'écriture rageuse et lucide, les phrases sans ponctuation, mais disposées en strophes comme en poésie, la douleur qui affleure partout dans ces chapitres divisés en thèmes, telles les pièces d'un casse-tête.
Un premier roman prometteur, dur comme un reflet trop cru dans le miroir.
Annick Duchatel, Entre les lignesMalcolm Fraser
Qu'on aime l'histoire ou non, on aimera ce volume qui se lit comme un roman extrêmement bien documenté. Les références historiques sont nombreuses et un tableau à la fin nous permet de résumer tout ce qui s'est passé pendant cette période de changement de notre pays.
André Maccabée, Cité BoomersCommunautés juives de Montréal (Les)
Cet ouvrage collectif se pose en lecture obligatoire pour quiconque voudra parler de la communauté juive montréalaise, au café ou au conseil de ville.
Daniel Lemay, La PressePureté (La)
Un recueil très édifiant. De très beaux textes signés par un jeune auteur doué de 25 ans. À découvrir.
Catherine Lachaussée, Radio-Canada (Ça m'dit d'prendre le temps)À la hache et au scalpel
Un excellent essai.
Paul Ouellet, Première heure (SRC Québec)Prison des Plaines d’Abraham (La)
J'ai bien aimé ce livre qui nous plonge dans l'univers carcéral des années 1860-1870. En le lisant, on saisit mieux les mécanismes de régulation sociale de l'époque.
Vicky Lapointe, Patrimoine, Histoire et multimédiaInstitut Raymond-Dewar et ses institutions d'origine (L')
L'ouvrage est bien édité et comporte un index utile et complet. En ouvrant une porte sur l'intégration des sourds à la société, il envisage sous des angles nouveaux de larges pans de l'historiographie québécoise, comme l'histoire de l'éducation spécialisée ou des congrégations religieuses. Dans ces domaines, il offre une contribution durable qui devrait recevoir l'attention des historiens.
Julien Prud'homme, Revue d'histoire de l'éducationAndré Lefebvre. Didacticien de l'histoire
À la lecture de ce livre, il se dégage d'emblée un sentiment d'affection et de profond respect de la part des auteurs envers André Lefebvre. Ceux-ci semblent avoir mis un point d'honneur à retracer avec maints détails à la fois sa vie et l'évolution de sa pensée. Cela résulte en un ouvrage qui se situe au confluent de la biographie et du traité de didactique.
Au bout du compte, les auteurs remplissent tout à fait leur mandat de faire connaître par cet ouvrage à la fois la vie d'un homme et sa pensée. C'est d'ailleurs leur synthèse de l'évolution de la pensée de Lefebvre qui donne le plus à réfléchir puisque la plupart de ses idées trouvent écho dans l'actuel programme d'histoire et d'éducation à la citoyenneté du ministère de l'Éducation, du Loisir et des Sports du Québec.
Catherine Duquette, Revue d'histoire de l'éducationCommunautés juives de Montréal (Les)
Lecture absolument fascinante. Et puis vous allez tout comprendre, c'est ça la beauté de l'affaire.
Michel Désautels, Radio-Canada (Désautels)Affaire Michaud (L')
Pour comprendre ce qui s'est vraiment, vraiment passé, il faut absolument lire L'Affaire Michaud. Chronique d'une exécution parlementaire de Gaston Deschênes, historien et ancien chef de la recherche à l'Assemblée nationale.
Josée Legault, VoirAffaire Michaud (L')
Ten years after, the Michaud affair still haunts the PQ and the National Assembly for three reasons : 1) Michaud's continued battle against what he calls that "infamous" motion and his great public support. 2) 109 MNAs voted without knowledge of these alleged "unacceptable" statements. 3) Michaud said nothing intolerant or xenophobic at that Dec. 13 meeting of the estates general.
Want proof ? The book L'Affaire Michaud - Chronique d'une exécution parlementaire by Gaston Deschenes, historian and former head of research for the National Assembly, is a must-read that includes the transcript of Michaud's interview of Dec. 5, 2000, with Paul Arcand, where he talked of meeting Senator Leo Kolber.
Josée Legault, The GazetteBoréal Express 1810-1841 (Le)
Les éditions du Septentrion ont décidé de rééditer le célèbre Journal d'histoire du Canada, une entreprise qui, sous forme d'articles de journaux accompagnés de photos et d'illustrations pertinentes, mélangeait avec un art consommé la petite et la grande histoire. Un travail unique et toujours d'actualité.
Paul Jacques, Le ClapDéjà
La première oeuvre de Nicolas Bertrand mérite qu'on s'y attarde tant elle est émouvante, poignante.
Nicolas Bertrand ne manque pas de style pour accompagner son héros qui a décidé, malgré le verdict cruel, de se battre pour sa fidèle compagne Mathilde, qu'il aime profondément, et son fils Frédéric, qu'il n'aura pas le temps de voir grandir. Bertrand traite ce sujet délicat, grave sans jamais tomber dans le pathos.
Aurélien Boivin, Québec françaisJ'écris parce que je chante mal
On lira J'écris parce que je chante mal pour la profondeur du propos, pour la justesse dont fait montre l'auteur dans son exploration exceptionnellement fine des émotions humaines et, aussi - surtout - pour l'intelligence du style qui sait habilement faire image, créer des impacts sans jamais en faire trop. Il y avait longtemps qu'un nouvellier m'avait ainsi happée et séduite par la force de son écriture.
C'est toute une maîtrise de l'écriture que montre ici Daniel Rondeau, que plusieurs, dont moi, goûtent déjà depuis quelques années sur le blogue éponyme.
Chantale Gingras, Québec françaisDéjà
Sans atteindre l'intensité dramatique d'Anne Hébert ou de Marie-Claire Blais, Nicolas signe un texte profondément humain. Un premier roman résolument prometteur.
René Tessier, Pastorale QuébecJean Vadeboncoeur et Cie
Jean Vadeboncoeur & Cie est un document riche en informations qui offre un grand intérêt sociologique. C'est un portrait des moeurs canadiennes françaises du début du XXe siècle, tout en étant un ouvrage passionnant, autobiographique et à mi-chemin du roman. Une belle découverte sur un homme dont j'ignorais absolument tout !
Geneviève Bolduc, La bibliothèque d'AllieDuplessis, son milieu, son époque
Le mérite de cet ouvrage, c'est de montrer que même s'il s'agissait d'un régime de droite et populiste, le gouvernement Duplessis a su pour l'essentiel préserver l'intégrité de l'État québécois face à la menace impérialiste. L'expression Grande Noirceur, vue sous cet angle est certainement à revoir.
René Boulanger, Le QuébécoisAnnedda (L')
On ne peut rien reprocher à la recherche de Mathieu, qui montre une fois de plus sa connaissance de première main de l'époque et des personnages dont il traite.
Luca Codignola, Recherches sociographiquesQuand le vent faisait tourner les moulins
L'auteur de cet ouvrage se livre à une véritable synthèse sur le sujet, une vue d'ensemble qui fournit de précieux renseignements sur notre passé préindustriel.
Cet essai rigoureusement documenté est agrémenté de plusieurs illustrations, photos et schémas qui permettent de mettre une image sur les moulins, leur fonctionnement et les personnes évoquées. Des encarts apportent un complément d'information.
En s'intéressant à ce patrimoine architectural, Gilles Deschênes met en valeur et rappelle l'importance de ne pas oublier ces témoins d'une industrie si vitale en leur temps,. L'apport de cette publication est indéniable, tant par son contenu historique qu'iconographique, un travail colossal qui mérite d'être soulignée.
Pascal Huot, Recherches sociographiquesPremière École yiddish de Montréal. 1911-1914 (La)
Il faut saluer l'excellent travail de vulgarisation et de synthèse du contexte sociopolitique de Pierre Anctil. Une contribution absolument nécessaire pour que l'ouvrage, traduit en français et destiné avant tout aux lecteurs francophones, leur soit intelligible et compréhensible. Pour guider les néophytes à travers les dédales de la culture juive et yiddish montréalaise, Anctil a choisi de commenter en bas de page les passages des textes de Novak qui se réfèrent à l'histoire du mouvement ouvrier ou du judaïsme européen et il a ajouté un nombre important de notes bibliographiques. Il a conservé aussi intactes entre parenthèses les expressions hébraïques et yiddish les plus importantes, ce qui dénote un souci fort louable de préserver le contenu des textes dans leur intégrité et leur originalité. Enfin, Anctil a glissé un glossaire à la fin du livre, très utile pour les non-initiés à l'histoire de la communauté juive de Montréal ou d'ailleurs.
Jean-Philippe Croteau, Recherches sociographiquesLettres de femmes au XIXe siècle
Doublement muettes - parce que femmes et parce qu'individus et non personnalités - les femmes ici réunies retrouvent un peu de la voix qu'elles ont pu avoir dans l'intimité des lettres, adressés aux proches, à la famille, aux amis.
Nul doute que l'ouvrage ne présente un grand intérêt. On se replongera ainsi avec curiosité dans ces mots du quotidien, qui font la démonstration que les épistolières n'effectuent pas, par l'écriture, une activité subalterne ou simplement volée au temps des occupations domestiques. Bien au contraire, pour toutes ces femmes la rédaction d'une lettre est essentielle et parfaitement intégrée à la vie courante.
Il faut louer cette entrrepise qui donne une seconde vie à toutes ces lettres. L'on ne peut qu'apprécier d'avoir sous la main des documents textuels inédits, ces témoins du quotidien du Bas-Canada que les lecteurs chevronnés ou simplement curieux apprécieront de parcourir.
Guillaume Pinson, Recherches sociographiquesPremière École yiddish de Montréal. 1911-1914 (La)
Il y a par ailleurs quelque chose d'admirable dans la curiosité tenace de Pierre Anctil, qui s'est fait le traducteur et le promoteur de ces textes oubliés. En plus de maîtriser cette langue, Anctil a, me semble-t-il, développé une connaissance historique très fine du monde yiddishophone de Montréal.
Martin David-Blais, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleUn taxi la nuit. T-II
Lorsqu'un blog, même en demeurant personnel et intime, parvient à trouver des centaines de lecteurs qui le consultent assidûment, il y a fort à parier que l'auteur touche à l'universalité de l'humain.
Pas de mots superflus ou de métaphores filées dans l'oeuvre de Pierre-Léon Lalonde, mais une écriture tout en retenue qui laisse glisser entre ses mots des parcelles de vie.
Le regard particulier qu'il porte sur sa clientèle ou sur les gens qu'il croise au fil de sa vie trouve toujours une fraîcheur à nos yeux. Ces gens ne sont pas jugés, ridiculisés, pas plus qu'ils ne deviennent des héros. Ils existent sur l'écran de l'auteur jusqu'à ce qu'une nouvelle entrée vienne les remplacer. Il est peut-être là le talent de Pierre-Léon Lalonde : s'arrêter quelques instants à écrire sur des inconnus qui, dans le fond, nous ressemblent.
François Cloutier, Lettres québécoisesFais ce que dois
Bien sûr il faut (re) lire les 60 textes de Bourassa ici réédités avec, pour chacun, une mise en situation pertinente ; mais vous voudrez bien me pardonner, Henri B., si j'ose dire que vos textes sont d'autant plus intelligibles, en nos jours, si on a bien lu la très sagace "Introduction" de Pierre Anctil à ceux-ci.
Livre de grande intelligence, à feuilleter et à lire avec le plus grand intérêt.
Renald Bérubé, Lettres québécoisesImpasse amérindienne (L')
L'Impasse amérindienne, publié aux éditions du Septentrion, est dorénavant une bible pour expliquer les impacts de trois commissions d'enquête, basées sur une politique de tutelle et d'assimilation.
L'impasse : le mot est juste. Nul besoin d'être un féru en actualité pour savoir que la question autochtone est complexe et insoluble, malgré le lot d'études, de rapports, d'enquêtes et de commissions publiés
Chantale Potvin, InnuvellePureté (La)
Si le style est emprunté, le pastiche est néanmoins sérieux. Les amateurs de littérature japonaise contemporaine pourront difficilement s'empêcher de penser à Haruki Murakami, avec son surréalisme léger, ses personnages esseulés en quête de sens et d'identité. C'est le principal défaut de La Pureté, de Vincent Thibault. Mais c'est aussi, paradoxalement, l'une de ses plus grandes qualités. On pourra, selon chacun, apprécier l'art derrière cet artifice ou y être allergique.
Il en émane une très belle unité, qui allie une maîtrise parfaite de la forme à des histoires qui débordent de douceur et d'empathie.
Un style tout en délicatesse, posé et attentif.
Christian Desmeules, Le Devoir1760, les derniers jours de la Nouvelle-France
Peu de documents montrant cette campagne vue du côté britannique sont accessibles en français. C'est pourquoi Réal Fortin a décidé de traduire et de présenter des journaux et témoignages de membres de l'armée commandée par Haviland.
Gaétan Bélanger, Nuit blancheBlessures de guerre
Véritable appel à la paix, Blessures de guerre, ce remarquable ouvrage du journaliste Gilbert Lavoie, regroupe des témoignages d'anciens combattants, ainsi que de leurs proches, femmes et enfants, sur les traumatismes que cause toute participation à la guerre.
La rédaction, Nuit blanchePassion Japon
J'ai été charmé dès la couverture qui, à mon sens, résume à elle seule le Japon : un mélange de tradition et de modernité. Cette bonne impression s'est confirmée par la suite : l'ouvrage est agréable à lire et l'auteure, qui a vécu un an à Kyôto, n'hésite pas à dévoiler ses sensations. Loin des guides traditionnels qui fourmillent de conseils pratiques et de circuits prédéfinis, "cet ouvrage tient à la fois du carnet de voyage et de l'essai".
À lire (en complément des guides traditionnels) avant de partir.
Dominique Chipot, Ploc ! la lettre du haïkuAffaire Michaud (L')
Il a fallu la publication de L'Affaire Michaud, cet automne, sous la plume de l'historien Gaston Deschênes, pour jeter un éclairage plus complet sur cet épisode.
Le livre établit clairement qu'on lui a imputé des propos qu'il n'a pas tenus et qu'on a jugé sans vérifier la véracité des accusations portées contre lui.
Gilbert Lavoie, Le SoleilVoyages aux Amériques
On a peu l'habitude de lire des descriptions aussi charnellement vivantes de l'activité à bord d'un navire de la marine royale et de la vie quotidienne dans deux jeunes colonies françaises d'Amérique du Nord-Est.
On ne peut que féliciter Frédéric Laux, Christian Huetz de Lemps et Raymonde Litalien d'avoir eu l'excellente idée de nous faire connaître ces savoureux récits de voyages aux Amériques.
Eric Thierry, Mémoires vivesBlessures de guerre
Un ouvrage essentiel pour ceux qui n'ont pas idée de ce que traversent ces hommes et femmes qu'on envoie au loin au nom des valeurs que le Canada veut défendre.
Pierre Vennat, L’Action nationaleMercenaires allemands au Québec, 1776-1783 NE (Les)
Il est de ces ouvrages modèles qu'il faudrait toujours rappeler à la mémoire des néophytes : Les Mercenaires allemands au Québec est l'un de ceux-là.
L'auteur met un soin particulier à établir le contexte historique ayant nécessité les tentatives plus ou moins fructueuses de recrutement des Britanniques, puis l'arrivée en Amérique de chacun des régiments allemands dont il suit avec minutie l'évolution, consacrant la seconde partie de son ouvrage aux membres de ces régiments ayant opté pour une résidence québécoise.
Jean Levasseur, Nouvelles Études FrancophonesHonoré Mercier
Tout en nous expliquant rapidement un certain nombre de phénomènes du siècle dernier, liés à la lecture et à l'instruction, il nous informe sur notre propre époque et nous aide à la comprendre.
, Voix et imagesHonoré Mercier
En publiant ce volume, Gilles Gallichan ajoute une pièce importante au dossier de l'histoire culturelle du Québec [...]. Il y a de belles pages sur Mercier et les livres, sur Mercier bibliophile, sur l'utilisation qu'il fit de sa bibliothèque, sur la perte de sa bibliothèque lors de sa faillite.
Marcel Lajeunesse, Documentation et bibliothèqueHonoré Mercier
[L'auteur] a réalisé un ouvrage d'histoire comme on aimerait qu'ils le soient tous : écrit pour être lu.
Louis-Guy Lemieux, Le SoleilPureté (La)
Nouvelles brèves dont l'écriture, tout en nuances et en clairs-obscurs, pastiche la plume d'auteurs tels que Haruki Murakami et Yoko Ogawa, dont se réclame l'écrivain. Inspiré par l'art fascinant de ces derniers qui consiste à décrire un quotidien dont les personnages quittent subtilement la normalité, Thibault offre une démarche unique dans les lettres québécoises, à découvrir.
Eric Paquin, Voir