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... Les poissons du lac Hertel C’est peut-être parce que les seigneurs ont longtemps interdit la pêche dans le lac Hertel que les poissons ont pu s’y développer jusqu’à atteindre des tailles considérables. ...

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... La population vivait de l’agriculture (maïs, 
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haricots, courges, tournesol, tabac), de chasse (chevreuils, orignaux, caribous, castors, rats musqués) et de pêche (perchaudes, barbottes, anguilles, etc.). ...

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... L’eau d’érable s’écoulait dans des goudrelles12 artisanales selon une technique qui n’avait pas beaucoup changé depuis le xviiie siècle : chacun le sait, fabriquaient des moules de formes variées : cœurs, castors, feuilles d’érable… En 1888, un rapport ...

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... À défaut d’assimiler rapidement les Canadiens français, Londres voulait tout au moins les mettre en situation d’infériorité démographique. ...

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... Sa formation était due au débordement de la rivière des Envies, dont l’eau était maintenue par d’importantes digues de castors. ...

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... À partir des années 1830, le feutre de castor est remplacé par la soie dans la confection de chapeaux hauts-de-forme, très prisés aux xviiie et xixe siècles. Les besoins en fourrures deviennent alors moins importants. ...

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... À ses yeux, les résultats de l’acculturation ne se traduisent pas forcément par une assimilation totale du dominant aux dépens du dominé; il peut y avoir intégration. ...

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... Pendant l’été, oiseaux, poissons et gibiers de tous genres abondent. Les petits groupes domestiques se rassemblent alors en campements temporaires de 100 à 200 personnes167 et en profitent pour commercer entre eux. ...

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... Ce temps nous est précieux, car comme l’Été les enfans ne peuvent quitter leurs mères, ni les mères leurs enfans, et qu’elles se servent d’eux dans leurs champs de bled d’Inde, et à passer [travailler] leurs peaux de Castor, nous n’en avons pas un si ...

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... Panneton (curé de St-Narcisse) L’abbé Edmond Poisson (curé de Pointe-du-Lac) L’abbé E. Brunelle (curé de St-Luc) L’abbé Épiphane Brunel (curé de Mont-Carmel) Le chanoine Dusablon (curé de Louiseville) L’abbé H. ...

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... À l’arrière de gauche à droite : Gaétan Trépanier, consultant, Richard Gaudreault, directeur des services pédagogiques, l’abbé André Marcouiller, Robert Aubin, enseignant, Cindy Poisson, enseignante, et Mme  Clark, représentante de la CSQ. ­ ...

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... 292 le séminaire saint-joseph de trois-rivières, 1860-2010 Le Cercle musical, le Studio d’Art Fra Angelico, Les Castors collectionneurs (club de philatélie), le Ciné-club Eisenstein. ...

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... Panneton (curé de St-Narcisse) L’abbé Edmond Poisson (curé de Pointe-du-Lac) L’abbé E. Brunelle (curé de St-Luc) L’abbé Épiphane Brunel (curé de Mont-Carmel) Le chanoine Dusablon (curé de Louiseville) L’abbé H. ...

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... À l’arrière de gauche à droite : Gaétan Trépanier, consultant, Richard Gaudreault, directeur des services pédagogiques, l’abbé André Marcouiller, Robert Aubin, enseignant, Cindy Poisson, enseignante, et Mme  Clark, représentante de la CSQ. ­ ...

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... 292 le séminaire saint-joseph de trois-rivières, 1860-2010 Le Cercle musical, le Studio d’Art Fra Angelico, Les Castors collectionneurs (club de philatélie), le Ciné-club Eisenstein. ...

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... La surproduction de peaux de castor avait incité en 1696 à la suspension des congés de traite jusqu’en 1715. ...

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... On se coiffe d’un tricorne de castor noir bordé d’un galon doré avec, à gauche, la cocarde habituellement de soie noire (mais parfois blanche) avec sa ganse et 2002, p. 18-21. ...

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... Ceux-ci estiment que la seule façon de combattre avec succès en Amérique du Nord est d’assimiler les tactiques autochtones et de les fusionner à l’organisation du commandement et à la discipline européenne23. ...

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... Bien sûr, une Nouvelle-France avait été sacrifiée, celle du froid, du castor, mais il restait celles du sucre, du café et en partie celle du poisson. Que sait-on des richesses inouïes d’une île comme Saint-Domingue ? Philip P. ...

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... Les îles d’Amérique pouvaient produire un peu de tabac, de poisson et de fourrures, accueillir les prisonniers et les vagabonds et, le cas échéant, servir de tremplin lors d’éventuelles attaques contre l’opulente Amérique espagnole. ...

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... En 1675, la création, financièrement opportune pour la Couronne, d’une compagnie jouissant du monopole du commerce des fourrures, fit que les Canadiens purent vendre à prix garanti toutes les peaux de castor et d’orignaux qu’ils pouvaient obtenir. ...

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... À la lecture de ces Lettres, il faudra bien ainsi en venir à réviser quelques notions communes concernant le rôle de premier plan qu’on attribue d’ordinaire à Lord Durham en ce qui a trait à la politique impériale d’assimilation envers « le grand corps ...

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... L’unique mode par l’entremise duquel Votre seigneurie peut concilier les deux races est d’assimiler l’une à l’autre. ...

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... lettre xxvi Montréal, le 4 novembre 1835 Monseigneur, Je renverrai à plus tard mes remarques sur la nécessité d’assimiler les « deux partis » l’un à l’autre lorsque j’en viendrai à l’examen en règle du douzième paragraphe du discours de Votre seigneurie ...

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... Il fallait la conscience de plus en plus partagée au Québec que la nation canadienne-française, minoritaire dans le Canada, était en voie d’assimilation et, au Québec même, empêchée de se développer, et entravée dans sa manière d’être collective. ...

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... Mais si l’ACFO est satisfaite du ralentissement de l’assimilation dans la région est, elle nous explique l’ampleur de cette assimilation en Ontario : La proportion des personnes de langue maternelle française utilisant l’anglais comme seule langue parlée ...

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... D’ABORD UN COUP DE CŒUR 70 Voici le tableau complet des taux d’assimilation en 1986 et en 1991 et de leur variation. Taux d’assimilation, régions francophones, provinces et territoires, 1986-1991, variation Province et territoire T.-N. et Lab. I. ...

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... Nous verrions des nôtres vaciller, certains même disparaître dans l’assimilation. ...

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... . — mais qui ne parlent plus le français, ayant été, eux-mêmes ou leurs familles, assimilés. Il est vrai que je ne connaîtrai jamais l’ampleur exacte du phénomène. ...

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... L’assimilation dont on nous disait qu’elle sévissait ailleurs, en Ontario, au Manitoba, chez les Franco-Américains, ne l’aperçoit-on pas qui sourd, sournoise et souterraine, ici même? ...