Nos livres font parler d'eux
Wake up mes bons amis!
« Dans Wake up mes bons amis !, Mathieu Bureau Meunier propose d’analyser une fraction de l’oeuvre du cinéaste de génie, Pierre Perrault. En visionnant les cinq premiers longs métrages de Perrault (Pour la suite du monde, Le règne du jour, Les voitures d’eau, Un pays sans bon sens et L’Acadie, l’Acadie ?!?), Bureau Meunier entend extraire l’idée que se fait le réalisateur de la nation québécoise dans la décennie 1960.»
Alexis Tétreault, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleFélix Leclerc
« On trouve dans cet ouvrage douze études et trois entrevues intercalées comme des interludes dans une pièce musicale, des contributions éclai- rantes, parfois très pointues, qui nous font apprécier l’œuvre de Félix sous différents angles. [...] Pris dans leur ensemble, ces actes de colloque sont pertinents et fouillés, ils jettent la lumière qu’il faut sur les multiples visages et voix de l’écrivain Félix Leclerc, prince des nuées en quelque sorte, et qui sur les planches de la culture standardisée d’aujourd’hui continue de hanter la tempête.»
Pascal Chevrette, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleOlivier-Elzéar Mathieu
« Ce livre, écrit par un professeur émérite de l’Université Laval, où il a enseigné l’histoire, est une œuvre très fouillée. [...] on découvre les nombreuses obligations qui furent siennes, les personnes rencontrées, les amitiés créées et les liens formés avec les décideurs politiques et ecclésiaux. [...] J’ai particulièrement apprécié la partie relatant son épiscopat à Régina de 1911 à 1929. il fonde un diocèse en Saskatchewan, dans une province nouvelle dont la création remonte seulement à 1905. nous retrouvons toutes les questions et les luttes auxquelles Mgr Mathieu a été confronté. le fait francophone dans l’ouest canadien, la lutte des Irlandais pour avoir un évêque anglophone, la question des écoles catholiques et ce que les francophones de cette partie du pays ont eu – et ont encore bien souvent – à vivre. »
Daniel Gauvreau, Pastorale QuébecPeur rouge (La)
« Une lecture intéressante, intelligente et bien documentée. »
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMPeur rouge (La)
« L’ouvrage d’Hugues Théorêt est une bonne introduction à cette facette de l’histoire canadienne française. »
Rémi Tremblay, PrésentGrain de sable (Le)
« Avec Le grain de sable, ValMo nous offre des illustrations à la fois magnifiques et poignantes d’un grand pouvoir de suggestion. En plus de transmettre avec beaucoup de réalisme les émotions vécues par des personnages, elle varie les cadrages, les plans et les séquences avec une qualité narrative presque cinématographique. L’illustratrice propose des ambiances qui servent le propos en s’appuyant d’une palette de couleurs qui tantôt s’anime des couleurs chaudes des tropiques et tantôt s’assombrit avec la dureté de l’histoire, en exploitant l’ombre et les contrastes. En bref, ce livre mérite d’être ouvert pour constater le travail de recherche derrière les illustrations et l’interprétation de chaque scène. »
, Prix illustration Jeunesse du Salon du livre de Trois-RivièresPeur rouge (La)
Une « éclairante et accessible synthèse de l’histoire de l’anticommunisme au Québec. […] Citations savoureuses et iconographie à l’appui, Théorêt montre combien la revue L’œuvre des tracts et l’hebdomadaire L’Ordre nouveau, notamment, ont attaqué les communistes d’une plume fielleuse. Leur propagande dénigrante associait communisme et athéisme. La solution pour juguler la “peur rouge” ? La religion, “principal rempart qui préserve l’ouvrier canadien-français de [l’atteinte du communisme].” »
Sébastien Vincent, Le DevoirPeur rouge (La)
« Le communisme a déjà semé l’effroi dans nos contrées. Dans La peur rouge. Histoire de l’anticommunisme au Québec, 1917-1960 (Septentrion, 2020, 218 pages), l’historien Hugues Théorêt raconte ces frayeurs. »
Louis Cornellier, Le DevoirDernier assaut (Le)
« M. Bertrand a souhaité mettre en lumière la vie de cet homme qui l’inspire depuis son adolescence. Jean Brillant fait partie des trois seuls soldats canadiens français qui ont reçu la Croix de Victoria, attribuée aux soldats de l’armée britannique et du Commonwealth qui posaient un acte de bravoure extrême. Avec cet ouvrage, Luc Bertrand a voulu faire connaître davantage l’histoire de Jean Brillant puisqu’il remarque que dans le Canada français, les héros de guerre ne sont pas très reconnus. »
Katy Desrosiers, Les 2 RivesMétier critique
« Catherine Voyer-Léger dresse un portrait de la critique au Québec, c’est un portrait juste, éclairant, et pertinent dans la société actuelle. [...] Elle nous amène à réfléchir sur la portée de la critique »
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMPeur rouge (La)
« Un livre intéressant […] C’est toute l’histoire de l’anticommunisme au Québec. […] Une petite plaquette qui se lit très bien. »
Paul Ouellet, Radio-Réveil (CIQI-FM)Peur rouge (La)
« Dans son livre intitulé La peur rouge, l’auteur campivallensien raconte en détail comment le gouvernement Duplessis a déployé une politique de propagande anticommuniste, qui s’est notamment concrétisée par l’adoption de la Loi protégeant la province contre la propagande communiste, mieux connue sous le nom de “loi du cadenas”. […] L’auteur tisse son propos en l’intégrant dans le contexte politique international de l’époque, d’abord marqué par la Révolution soviétique, la Seconde Guerre mondiale, puis la Guerre froide. […] Mais c’est aussi au fil de recherches rigoureuses dans les archives des services de police qu’il explique comment l’application de la loi du cadenas se traduisait sur le terrain, avec la bénédiction des autorités religieuses avec qui Duplessis entretenait des liens étroits. »
Mario Pitre, Le Journal de Saint-FrançoisMétier critique
« Parue aux éditions du Septentrion il y a quelques semaines, la nouvelle édition revue et augmentée de Métier critique de Catherine Voyer-Léger réinterroge le métier de critique culturelle et tous les éléments avec lesquels il doit jongler. »
Emmy Lapointe, Impact CampusVaugeois-Frandeboeuf de la Bretagne à la Mauricie (Les)
« Quelle histoire! Une enquête rigoureuse est menée pour résoudre une intrigue qui se cache au sein même de la famille Vaugeois-Frandeboeuf. Tout sera scruté finement : la vie privée des uns et des autres, les legs testamentaires, les finances, bref, toute la vie des ancêtres français de cette illustre famille, bien connue des Trifluviens. Pour les passionnés d’histoire, il faut lire ce livre passionnant qui ne laisse rien passer. »
Marie-Andrée Brière, Revue HéritageCurieuses histoires de plantes du Canada, tome 4
« Ce quatrième tome est dédié aux plantes du Québec. Nous les découvrons à travers 34 histoires mettant au premier plan des personnes, des institutions de recherche et d’enseignement qui se préoccupent des végétaux destinés tant au milieu agricole, qu’alimentaire, ornemental, médicinal, forestier et scientifique. Cet ouvrage nous fait faire des découvertes inattendues nous permettant de mieux connaître et comprendre l’histoire de notre territoire. À lire avec grand intérêt. »
Marie-Andrée Brière, Revue HéritageL’Art de l'enquête criminelle
« Cet ouvrage très spécialisé nous ouvre les dessous des techniques d’enquête criminelle. Il s’adresse à des spécialistes du domaine, ou du moins, à des gens qui œuvrent dans le milieu policier ou judiciaire. Pourtant, il a attiré mon attention et a soulevé la question des processus d’enquêtes généalogiques.[...] Cet ouvrage est passionnant même pour des individus n’œuvrant pas dans la sphère policière ou judiciaire. C’est un outil méthodologique qu’il faut savoir adapter à nos besoins. À lire pour parfaire nos méthodes d’investigation! »
Marie-Andrée Brière, Revue HéritagePeur rouge (La)
« Une lecture absolument fascinante parce que c’est de l’histoire tellement proche de nous. Il faut absolument s’y replonger. »
Michel Désautels, Désautels (Radio-Canada)Métier d'intendant en France et en Nouvelle-France au XVIIIe siècle (Le)
« Dans cette thèse publiée, Marie-Eve Ouellet en fait ressortir les fondements [de l’intendance canadienne] pour remettre en question le particularisme colonial et lui redonner sa place au côté des intendances métropolitaines. […] L’ouvrage met en lumière les documents de l’intendance. Il témoigne et transmet le goût de l’archive de Marie-Eve Ouellet. […] Il offre aux lecteurs un nouveau regard sur cette institution fort commentée de l’histoire du Québec et pourrait susciter des vocations par sa mise en valeur des archives. »
Sébastien Didier, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseFormation d'une culture élitaire dans une ville en essor (La)
« l’auteure parvient à décrire de manière vivante et juste les rituels qui rythment la vie sociale de l’époque, qu’ils soient attachés au calendrier religieux ou non. […] Le dépouillement des journaux locaux donne une belle profondeur à cette trame et l’analyse des correspondances des familles Tellier et Baby permet à l’auteure de mettre en évidence l’instrumentalisation de ces pratiques rituelles par les élites locales. […] l’auteure livre aux spécialistes un large éventail de représentations de la petite bourgeoisie au tournant du XXe siècle, fruit d’un imposant travail de dépouillement des imprimés de l’époque. L’étude réserve également une place accrue à la dimension matérielle de la culture élitaire, ouvrant de belles perspectives. […] en liant les approches propres à l’histoire, à l’ethnologie et à l’architecture et en prenant le pari des enquêtes de terrain, l’auteure propose une lecture stimulante de la formation de la culture élitaire dans un contexte régional. »
Jean-René Thuot, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseContribution des pionniers de la ville de Paris au peuplement du Canada (La)
Un livre « très intéressant pour les informations fines et souvent inédites qu’il livre sur les lieux d’origine des ancêtres parisiens et pour la précision de leurs biographies. […] cet ouvrage apporte une abondance de renseignements intéressants et inédits sur les ancêtres parisiens ayant contribué au peuplement du Canada. »
Robert Larin, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseDu Saint-Laurent au Rhin
« On avait déjà eu l’occasion de lire des extraits du journal d’Alphonse Couture. La publication intégrale est néanmoins un heureux événement : elle ajoute à notre connaissance “d’en bas” du premier conflit mondial […] Couture a beaucoup à nous dire sur des aspects primordiaux de l’effort de guerre, en l’occurrence la logistique, mais aussi sur la vie derrière le front, et pas seulement la vie de soldat »
Yves Tremblay, Revue d’histoire de l’Amérique françaisePierre Miville
« Tout au long de ma lecture, j’ai appris plein de choses intéressantes et éducatives sur l’héritage de la descendance Miville, Minvielle, Mainville, Miville-Deschênes. [...] Une bonne lecture que j’ai appréciée, je vous recommande ce récit biographique qui est très accessible, puisque la plume de Raymond Ouimet est facile à lire.»
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMLa Noël au temps des carrioles
« Deux jeunes historiennes québécoises invitent le lecteur à une promenade dans la vieille ville de Québec sur le thème du temps des fêtes à Québec du XVIIe au XXe siècle. Ce petit ouvrage accompagnera agréablement tout voyageur en visite dans la ville, en toutes saisons, d’autant que le petit format permet de le glisser facilement dans la poche. »
Christiane Peyronnard, La CliothèqueMétier critique
« un ouvrage de référence »
Manon Dumais, Le DevoirGrain de sable (Le)
« Les illustrations de Valmo sont puissantes, crues, saisissantes de réalisme. Elles laissent parfaitement émaner la détresse de l’enfant esclave. Le tout s’arrime magnifiquement bien avec les mots et les expressions soigneusement choisies par l’auteur qui ne sont pas sans rappeler l’écriture poétique exigée par la création musicale de style rap.»
Benita Kanozayire et Lucie Béchard, J'enseigne avec la littérature jeunesseGrain de sable (Le)
« Si l’ouvrage est destiné aux jeunes à partir de huit ans, le propos n’en est pas moins universel et devrait intéresser les lecteurs plus âgés. On apprécie particulièrement le glossaire proposé à la fin du livre pour expliquer aux jeunes lecteurs des termes comme case, calebasse, case ou encore les coups de crayon de l’illustratrice et auteure Valérie Morency alias ValMO qui permet de s’imaginer l’époque.»
, Touki MontréalCurieuses histoires de plantes du Canada, tome 4
« Alain Asselin et Jacques Cayouette poursuivent leur série brossant un tableau des végétaux du Canada avec cet ouvrage comportant 34 histoires s'étant déroulées entre 1867 et 1935. [...] Les auteurs nous livrent également de jolies anecdotes, comme celle de cette première fête des Arbres, tenue à Québec et à Montréal en 1883, qui a donné lieu à une plantation d'érables, de bouleaux, de merisiers et de trembles. Agréablement illustré, l'ouvrage se clôt sur un chapitre portant sur le frère Mari-eVictorin et sa célèbre Flore laurentienne. »
, ContactCourtiers et entrepreneurs
« L’accession des Québécois francophones au monde des affaires est redevable aux institutions financières qu’ils ont créées: caisses populaires ainsi que sociétés d’assurances et de courtage financier. Marc Vallières explique comment, pendant plus d’un siècle, les courtiers ont joué un rôle déterminant dans l’organisation des marchés financiers au Québec, ce qui a permis la réussite des entrepreneurs francophones. »
, ContactOlivier-Elzéar Mathieu
« Dans cette biographie, Jacques Mathieu raconte le destin peu commun d’un fils d’ouvrier devenu recteur de l’Université Laval (1899-1908), puis premier évêque de Regina (1911-1929). Né à Québec la veille de Noël 1853, Olivier-Elzéar Mathieu est un pionnier trop méconnu qui a notamment contribué à l’éducation et à la progression du fait français dans l’Ouest canadien. »
, ContactCinéma américain (Le)
« un livre facile d’approche, qui résume bien les bouleversements du cinéma américain à partir des années 1940 »
Christine Hébert, Nous sommes fansCinéma américain (Le)
« Entourés d’illustrations de Francis Desharnais, ses récits passionnants sont souvent agrémentés de citations pertinentes, [...] Par ailleurs, Helen Faradji, objective et didactique efficacement dans l’ensemble, se permet ici ou là une analyse plus personnelle, voire même une subjectivité bienvenue [...] Le cinéma américain s’avère donc être un bel ouvrage de référence qui va au-delà de ce qu’on pourrait apprendre sur Internet, et ce grâce au style efficace d’Helen Faradji.»
Cyril Schreiber, Chéri(e) j'arrive (CHYZ)Cinéma américain (Le)
« Une lecture très intéressante [...] Helen Faradji a le talent de nous partager ses connaissances dans un langage clair, direct et facile à lire. »
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LM