Nos livres font parler d'eux

Bon chien

J'ai aimé. Frappant, très juste, poignant, presque lancinant. Voilà ce qu'est ce premier roman de Sarah Desrosiers.

Johanne Mathieu, La chronique littéraire

Filles du Roy pionnières de Montréal (Les)

L'ouvrage permet de mieux connaître leur histoire, leur vie en ce pays, de suivre leurs pas, leurs rêves, leurs joies et leurs peines ainsi que les principaux événement reliés à la fondation de Montréal et à son développement de l'époque.

Découvrons avec avidité cette vie d'autrefois qui sommeille dans ces 700 pages!

Jeannine Ouellet, Histoire Québec

Émergence de Montréal dans le système urbain nord-américain (L')

L'émergence de Montréal dans la formation du système urbain nord-américain pose plusieurs questions abordées par Luc-Normand Tellier dans une approche passionnante et originale de l'histoire des débuts de la métropole québécoise.

Jeannine Ouellet, Histoire Québec

Un diplomate à la découverte du Japon

Tout un voyage pour Rodolphe Lemieux, toute une trouvaille pour le lecteur!

Remercions René Castonguay d'avoir déniché cette fertile correspondance du voyage, un précieux témoignage sur les jeux de coulisses diplomatiques, qui pose un regard amusé et éclairé d'un Canadien français catholique sur une autre civilisation.

Christian Vachon, Les libraires

Hôtel Columbus

Huis clos captivant et d'une grande poésie, cette pièce de Ricardo Monti se dévoile lentement, comme à demi-mot. Subtilement, l'auteur argentin multiplie les couches de lecture et fait de ces deux hommes un couple presque divin dont le drame intime parle de désir de liberté, d'identité et d'amour d'une façon qui touche à l'universel. Objet à la fois étrange et magnifique, Hôtel Columbus est de ces textes qui restent en nous et qui nous hantent, comme un fantôme.

Anne-Marie Genest, Les libraires

Curieuses histoires d'apothicaires

Ce livre profusément illustré confirme que les petites histoires mènent souvent à la grande. Cet album de concoctions truffé d'anecdotes et de faits parfois rocambolesques se lit comme un roman de sorcières et de démiurges qui, par leur savoir et leur intuition, ont su aider l'espèce humaine.

Isabelle Beaulieu et Alexandra Mignault, Les libraires

Tu ne tueras point

Anne Peyrouse risque gros avec Tu ne tueras point, un roman en trois actes qui coupe le souffle et laisse abasourdi. Le tout dans une écriture fragmentée, brisée, hachurée, cassée et haletante. J'aime les écrivains qui font perdre les repères et qui, dans une écriture enveloppante, nous poussent dans une dimension où je refuse souvent d'aller. C'est encore plus que ça avec Anne Peyrouse. Elle m'a laissé sur le carreau comme si j'avais été frappé par une tornade qui détruit tout sur son passage. Une forme de Big Bang existentiel qui pulvérise la pensée et l'être.

Il faut peut-être parler d'un roman extrême, d'une écriture qui ne fait aucune concession, qui laisse au bord de la crise. Singulier, particulier, dérangeant et terriblement humain. Un roman d'une densité peu commune qui ne vous permet jamais de reprendre votre souffle. Un véritable combat pour en arriver à la dernière phrase que l'on touche comme une île de sable après avoir nagé jusqu'à épuisement pour échapper au naufrage et aux abysses. Un roman terrible de beauté et de douleur.

Yvon Paré,

Faire aimer l'histoire en compagnie de Jacques Lacoursière

Quelle merveilleuse histoire que celle racontée, entre autres, par Denis Vaugeois autour de Jacques Lacoursière, historien émérite.

Bref, ce livre-hommage est aussi une boîte à surprise qui nous donne le goût de l'histoire et de connaître un peu plus nos racines.

Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal

Les ovaires, l'hypothalamus et le coeur

Camille Deslauriers, avec son sens de l'humour et du ridicule, réussit à alléger des histoires qui pourraient facilement devenir lourdes. Tout est là. Fébrilité, fragilité, hésitation au bord du précipice. C'est ce qui rend ces textes touchants. Cette terrible solitude, les sentiments d'échec qu'elle masque dans une écriture vivante, saccadée et joyeuse presque.

Yvon Paré,

Les ovaires, l'hypothalamus et le coeur

Avec Les ovaires, l'hypothalamus et le coeur, Camille Deslauriers nous propose un portrait éclectique et très moderne de la femme, où les différentes facettes de celle-ci se fragmentent et se multiplient pour en créer une image complexe et intrigante.

Ce recueil de nouvelles est aussi à l'image des personnages qui campent ses pages: intense, libre, mais criant de vérité. Et on aime ça.

Johanne Mathieu, MaTv

Curieuses histoires de plantes du Canada, tome 3

Un index imposant et de somptueuses illustrations complètent les riches informations scientifiques, culturelles et historiques souvent méconnues de ce remarquable essai d'histoire, véritable trésor documentaire.

Jeannine Ouellet, Histoire Québec

Tuxedo Kid

Une oeuvre passionnante qui nous plonge dans ce passé pas si lointain.

, La horde geek

Grosse

L'auteure Lynda Dion signe avec Grosse un ouvrage rentre-dedans, coup de poing à tous les égards. Habituée de l'auto-fiction, elle se livre comme jamais dans ce quatrième roman et partage avec le lecteur son obsession sans fin sur son poids. Un roman extrêmement confrontant pour quiconque a déjà eu une relation amour-haine avec sa personne. Lynda Dion nous tend un miroir de notre propre condition. Une lecture brute, violente, nécessaire.

, Artv

Bon chien

Je reconnais avoir été touchée, entraînée dans ce roman comme dans un ballet.

Martine Latendresse Charron, Le fil rouge

Les ovaires, l'hypothalamus et le coeur

Camille Deslauriers s'approprie les maux de coeur, de tripes et de tête d'aujourd'hui en les traitant non seulement avec humour noir, mais avec humilité, vulnérabilité et poésie.

Bref, Les ovaires, l'hypothalamus et le coeur est un recueil touchant qui dresse la carte de la vulnérabilité de la femme d'aujourd'hui qui assume ses choix en s'affranchissant du regard d'autrui.

Anne-Marie Duquette, Le mouton noir

Nouveau système

Habitué à la poésie, il emprunte quelques fois sa prose pour fleurir et colorer un récit aux thèmes obscurs.

, Plus on est de fous, plus on lit! (Radio-Canada)

Grosse

L'auteure manie à merveille les métaphores filées et les images à la fois poétique et trash dans un vocabulaire riche et très détaillé.

Lynda Dion fonce sans filtre et offre une oeuvre brutale, intime et sans détour où l'happy end n'est pas le but recherché, ni même la proclamation de la beauté des rondes. Simplement une purgation littéraire poétique et féroce.

Léa Villalba, Les méconnus

Martel en tête

Cette lecture, ici encore coup-de-poing, peut sembler difficile par moments, mais combien réaliste en termes de souffrance des personnes atteintes par la maladie mentale.

, Champagne et confetti

noms fictifs

Une narration empreinte d'empathie, sans apitoiement ni jugement, et des paroles, monologues et dialogues puisant tous les registres de langue donnent à l'ensemble une tonalité juste et bien assortie au propos.

Pierrette Boivin, Nuit blanche

Grosse

C'est parfois cru, souvent touchant, mais toujours vrai. Un récit qui ne laisse personne indifférent. Lynda Dion propose ici ce qui se révèle être assurément son meilleur roman.

Billy Robinson, Les libraires

Franco-Amérique [NE]

Ce livre, double héritage, réconcilie la parole et l'écrit, rêve commun et destins différents, témoignages révélant la richesse de l'aventure franco aux quatre coins du continent.

Histoire Québec, Jeannine Ouellet

Montréal en 1642 cases

N'est-ce as une façon agréable de réviser nos connaissances sur notre histoire?

Histoire Québec, Jeannine Ouellet

noms fictifs

Avec Noms fictifs, Olivier Sylvestre réussit impeccablement à sublimer l'univers de dizaines de toxicomanes, pour en faire de véritables personnages, magnifiques et émouvants.

Blogue Page par page, Caroline Dawson

Empire et métissages, 2e édition

Ouvrage magistral

Tout cela fait d'Empire et métissages un livre passionant à lire pour qui veut redécouvrir cet aspect moins connu de l'histoire de la Nouvelle-France et, au surplus, une lecture de plus utiles pour apprendre à se défaire d'un certain simplisme et de bien des idées préconçues.

Patrick Moreau, Onalu.ca

Inextinguible (L')

C'est Maxime Olivier Moutier, sans filtre. Un grand brassage intime et disert qui, même si le ton reste amical, n'est pas sans causer des moments tendus entre les protagonistes.

Geneviève Tremblay, Le Devoir

Un Québec libre est un Québec qui sait lire et écrire

Avec une candeur désarmante, il réfléchit sur notre avenir collectif en réussissant - fait rare - à se placer, lui, un ministre du gouvernement, au-dessus de la partisanerie politique.

Il faudrait être aveugle pour ne pas être touché par ce petit ouvrage signé par un honnête homme sans visée électoraliste, habité par une foi dans l'éducation, cette voie royale vers la liberté.

Denise Bombardier, Le Journal de Montréal

Sud des États-Unis (Le)

Les lecteurs francophones seront profondément redevables à Chenard pour cette prodigieuse et passionnante référence qui fera date, et les renseignera judicieusement sur la première puissance de la planète.

Samia I. Spencer, Quebec Studies Journal