Nos livres font parler d'eux
« Les Ennemis français de la race anglaise »
« Ces lettres nous révèlent un radicalisme souvent ignoré de la société québécoise des années 1830. À lire pour mieux comprendre notre société.»
Marie-Andrée Brière, Revue HéritagePresse canadienne-française et l’extrême droite européenne (La)
« Théorêt apporte ici un nouvel éclairage en établissant une parenté d’opinions sur cette instrumentalisation du «péril rouge» au sein des discours de l’extrême droite européenne et des salles de nouvelles de la province. Par-delà cet enjeu, l’un des apports importants de cet ouvrage est d’attirer notre attention sur l’importance, bien que difficilement quantifiable, que revêt la question des relations internationales dans le dispositif médiatique québécois de l’entre-deux-guerres, malgré le fait, ironiquement, que cette question demeure secondaire pour le chercheur. »
Maxime Trottier, Bulletin d'histoire politiqueSud des États-Unis (Le)
Le meilleur ouvrage en français pour comprendre le Sud des États-Unis.
Élisabeth Vallet, Plus on est de fous, plus ont lit!Promenade en Enfer
« une plume alerte [...] Cette minutieuse enquête éclaire le rôle de la censure punitive et de ses institutions en Europe et au Québec. Elle constitue par ailleurs une singulière contribution à l'histoire du livre mis à l'Index [...] Elle devrait trouver sa place aux côtés des études d'historiens tels Alberto Manguel, Roger Chartier ou Pierre Hébert dont elle suit si bien les traces. »
Sébastien Vincent, Le DevoirCourtiers et entrepreneurs
«Dans Courtiers et entrepreneurs, premier ouvrage important qui traite du « courtage financier au Québec, 1867-1987 », l’historien Marc Vallières montre que Louis-Joseph Forget (1853-1911) et son neveu Rodolphe Forget (1861-1919), tous deux nés à Terrebonne, inaugurent par le commerce des valeurs mobilières la présence des Canadiens français dans l’organisation, les fusions et la direction des grandes entreprises. Ils rivalisent même avec leurs concurrents anglo-écossais à la Bourse de Montréal.»
Michel Lapierre, Le DevoirGrain de sable (Le)
« Il est rare que nous parlions d’esclavage au Canada dans nos cours d’histoire. C’est pourquoi je trouve important que ce livre existe. De plus, à la fin de l’album, il y a un documentaire plus approfondi sur la vie d’Olivier Le Jeune et certains extraits d’écrits historiques qui parlent de lui. Les illustrations incroyables de Valmo accompagnent le texte à la perfection. J’aime que le texte soit écrit comme de la poésie. Sans retirer de la puissance au contenu, ça le rend encore plus efficace. Les images sont fortes et percutantes. »
Jonathan le bibliophile, Les Bibliophiles de QuébecRoux clair naturel
Écrit en fragments désordonnés, ce roman haletant qui se lit comme un thriller raconte la captivité étonnante d'une fausse rousse héroïne, qui nous ressemble tous au fond; à notre façon, chacun emmêlé dans la toile de bobards qu'on veut bien se fabriquer. Personne n'est à l'abri des mensonges, ceux qu'on raconte aux autres et ceux qu'on se raconte à soi-même... et qu'on finit même par croire.
Claudia Larochelle, Les librairesdésert (le)
À travers ce désert, l'écriture de l'auteur nous tient en haleine, nous plonge dans le désarroi du narrateur, son impuissance face à tout ce qu'il vit. Magnifique et envoûtant!
Camille Gauthier, Les libraires craquentRéfugiés acadiens en France, 1758-1785 (Les)
Les Réfugiés acadiens en France: 1758-1785 - L'impossible réintégration? intéressera les historien désireux de mieux connaître les conditions de réintégration des Acadiens en France après 1755; comment ceux-ci étaient considérés et perçus, autant par les autorités au nom du roi de France que par les populations des différentes régions côtières de France.
Yves Laberge, Cap-aux-DiamantsÀ la rencontre des Algonquins et des Hurons
Dans le cas présent, les annotations - plus de 300 - sont de l'historien français Éric Thierry; ses notes précisent des noms de personnes mentionnées ou transposent les noms de lieux décrits par Champlain. On en redemanderait, tant les commentaires sont pertinents.
Yves Laberge, Cap-aux-DiamantsRecettes de chantiers et miettes d'histoire
À travers commentaires, anecdotes et photos d'archives, une véritable tradition culinaire se révèle. Le reste de l'exploration se fait avec les papilles, en réalisant ces recettes faciles à exécuter et en goûtant ces plats réconfortants.
, ContinuitéLutte se poursuivit en cachette (La)
Le livre d'Anny Morissette La Lutte se poursuivit en cachette. Le pouvoir des chefs et des leaders de la bande algonquine de Kitigan Zibi est une excellente étude sur l'impact de la colonisation eurocanadienne sur la gouvernance autochtone depuis l'adoption de la Loi sur les Indiens par le Parlement canadien en 1876. Rédigée sous une forme académique rigoureuse, mais dans un style vivant qui maintient l'intérêt du lecteur, il s'agit d'une étude de cas sur l'histoire de la principale réserve anishnabée (Algonquine) au Québec, Kitigan Zibi, située près de Maniwaki. La problématique étudiée s'est reproduite avec des variantes dans l'ensemble des communautés autochtones du Québec.
André Binette, L'Aut'JournalMaurice Séguin, historien du Québec d’hier et d’aujourd’hui
Lamarre écrit un livre salutaire afin de rendre accessible la pensée complexe et l'écriture singulière de Séguin dont l'influence a atteint son apogée dans les années 1970.
Simon Rainville, L'Aut'JournalOfficiers des troupes de la Marine au Canada (Les)
Fruit de trois années de travail d'archivistes et de généalogistes ainsi que de la collaboration fructueuse de sept auteurs québécois et français, Les officiers des troupes de la Marine au Canada, 1683-1760 est un ouvrage incontournable de haute qualité qui saura ravir les plus passionnés d'histoire militaire de la Nouvelle-France.
Martin Poëti, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseHarakiri
Maryse Latendresse nous offre un roman marquant où les coins parfois tordus des relations humaines seront visités. Harakiri se veut un récit tranchant qui nous accroche jusqu'au dernier mot.
Émilie Bolduc, Les libraires craquentGrain de sable (Le)
« Un très beau récit qui nous relate la vie que certains esclaves ont pu avoir au Canada, pour ce qui est d’Olivier Le Jeune, un vrai esclave qui a réellement existé. La plume de Webster, est poétique et franche pour ce qui est des illustrations de ValMo, elles sont magnifiques et représentent très bien les mots de Webster. Je recommande cet album illustré dans toutes les écoles, mais surtout dans toutes les familles afin de familiariser les enfants avec l’histoire du Québec. »
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LM