Nos livres font parler d'eux
Dernier assaut (Le)
« un récit à la fois historique et humain »
Stéphane Martin, Sorel Tracy MagazineCondition québécoise (La)
« On apprend l’histoire des peuples, notamment du sien, au travers de récits articulés autour de dates, de basculements ou de ruptures jugés "historiques". Or, les changements de société surviennent lentement, estime l’historien Jocelyn Létourneau. Et le parcours du Québec est bien plus fait de "passages" que de ruptures, comme il l’expose dans son essai La Condition québécoise. »
Alexandre Vigneault, La PresseDernier assaut (Le)
« une biographie rigoureuse et soignée de Luc Bertrand qui nous incite à comprendre comment un Canadien français, à l’instar d’une dizaine de milliers d’autres de ses compatriotes, s’est senti interpellé, s’est porté volontaire pour une guerre lointaine, sans haine de l’ennemi, un remarquable essai remettant en valeur la participation non négligeable des Québécois francophones à la Grande Guerre de 1914-1918. »
Christian Vachon, Librairie PantouteCondition québécoise (La)
« En ces temps de confinement, qui nous forcent, bien souvent, à nous redéfinir et à nous regarder de plus près dans le miroir, si ce n’est dans le rétroviseur, le livre de Jocelyn Létourneau tombe à point. […] En d’autres mots, Létourneau entend démontrer que nous sommes autre chose qu’un peuple vaincu à la recherche de son indépendance. Notre histoire est composée de mille et une quêtes, de discours radicaux et de discours complaisants, qui s’inscrivent dans notre habitat particulier formé par l’autochtonité, l’européanité et l’américanité, auquel "il faudrait ajouter la catholicité romaine pendant la plus longue partie de son histoire". »
Jacques Lanctôt, Journal de Québec« Les Ennemis français de la race anglaise »
« Même si l’on déteste le personnage qu’était Adam Thom, que ses idées sont grotesques et que la lecture de ce livre peut être choquante par moments, ces lettres sont très intéressantes à lire. Elles nous font comprendre un point de vue différent. Elles jettent également un éclairage nouveau sur la politique et la situation particulière du Québec. […] L’ouvrage débute par un avant propos riche en informations qui nous apprennent qui était ce cher Adam Thom. D’où il venait, ce qu’il faisait, avant qu’on puisse entamer la lecture de ses lettres adressées à Lord Gosford. […] Les Ennemis français de la race anglaise a été une lecture hyper intéressante et instructive, qui offre une image très claire des tensions que les deux colonies de l’époque ont dû affronter. De nombreuses notes accompagnent chaque page afin de permettre au lecteur de mieux saisir le contexte historique, les différents hommes qui ont marqué cette période et leur façon d’agir. C’est donc passionnant, puisqu’on apprend énormément de choses sur cette période de l’histoire, tant du point de vue social que politique. »
Guy Brisson, Mon coussin de lectureCurieuses histoires du pont de Québec
« Ce livre est le résultat de découvertes récentes effectuées par l’auteur qui s’intéresse à l’histoire du pont de Québec depuis plus de 50 ans. On y retrouve de nombreux faits inusités qui ont tous un lien avec le pont de Québec qui possède une histoire riche en curiosités et en anecdotes de toutes sortes. »
Marie-Josée Turcotte, Magazine PrestigeCondition québécoise (La)
« Jocelyn Létourneau appartient à l’élite des historiens québécois. Ses livres brillent toujours par l’originalité de leur propos et par leurs qualités de style. Historien et interprète du parcours québécois, Létourneau explore notre passé avec l’intention affichée d’éclairer le présent afin de permettre un "passage à l’avenir" dans la fidélité et l’ouverture. L’analyse, chez lui, prend autant de place que les faits. »
Louis Cornellier, Le DevoirPromenade en Enfer
« L'ouvrage Promenade en Enfer, richement illustré, nous fit découvrir les raisons de cette censure instaurée dans le contexte de la Réforme et de la Contre-Réforme. L'analyse en profondeur du corpus lui-même permet de cerner l'évolution des interdits de la société québécoise, que ce soit par le choix des ouvrages mis en Enfer ou par les annotations manuscrites, les ratures et les découpures effectuées dans les livres. [...] Un ouvrage indispensable pour les amoureux des livres anciens. »
Michèle Lefebvre, À rayons ouvertsPeur rouge (La)
« en lisant [...] La Peur rouge. Histoire de l’anticommunisme au Québec, 1917-1960, ce qui nous effraie, rétrospectivement, ce n’est pas le péril communiste, mais l’imposant arsenal, tant législatif que répressif, qui est mis en place pour lutter contre lui, un arsenal patronné par les autorités ecclésiastiques, un arsenal maintenant détaillé, en long et en large, par l’historien Hugues Théorêt »
Christian Vachon, Librairie PantouteÉditions Marabout, Bob Morane et le Québec (Les)
« un petit bouquin très instructif »
Jean-Christophe Laurence, La PresseMétier critique
« Catherine Voyer-Léger analyse et discute sérieusement "notre rapport à la critique pour entreprendre une discussion de société qui dépasse les procès d’intention, les blessures d’orgueil ou les querelles de clocher." Métier critique met en perspective une profession essentielle à l’ensemble des composantes de la culture, son discours accompagnant les diverses productions ou en suggérant de nouvelles. »
Jean-François Crépeau, Le Canada françaisDernier assaut (Le)
« Luc Bertrand reconstitue l’époque de sa plume élégante et sensible, tout comme il esquisse une trajectoire humaine empreinte de doutes, de tourments et, parfois, de honte. De Jean Brillant, homme de pensée et d’action, il montre "les joies, les peines, la volonté de dépassement […], l’amour qu’il porte à sa famille et à son pays, la fierté qu’il a de servir au sein du 22e Bataillon, sa compassion à l’égard de ses hommes et son […] sens du devoir". »
Sébastien Vincent, Le DevoirFélix Leclerc
« Les précieuses annexes de Frédéric Giuliano et Marc-André Goulet recensent les différents fonds d’archives contenant des manuscrits et des enregistrements inédits ; ces ressources permettront de prolonger les recherches sur un créateur hors du commun. »
Yves Laberge, Nuit blancheCrimes et châtiments
« Crimes et châtiments est un petit ouvrage bien intéressant, illustré d’images, de cartes, de photographies d’époque et d’articles de journaux. Il offre un circuit historique qui nous permet de comprendre les particularités du système de justice québécois en vigueur du XVIIe au XIXe siècle. J’aime décidément beaucoup cette collection d’ouvrages aussi instructive que ludique, qui nous offre un tour d’horizon d’une ville, par l’entremise de sujets bien précis. En apprendre plus sur la justice d’antan nous offre un nouveau regard sur la justice d’aujourd’hui. »
Geneviève Bolduc, Mon coussin de lectureDernier assaut (Le)
« L’auteur Luc Bertrand nous trace le portrait d’un homme d’exception, qui a marqué la vie militaire canadienne. […] C’est vraiment une belle lecture qui m’a permis d’apprendre et de connaître le parcours de ce militaire canadien qui a combattu et laissé sa vie lors de la Première Guerre mondiale. Je vous recommande de lire ce documentaire qui permet de comprendre que malgré la plus grande distinction, Jean Brillant a su rester un homme simple et humble. »
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMFélix Leclerc
« Félix Leclerc. Héritage et perspectives explore en détails les débuts et la professionnalisation du chansonnier. Il revisite son œuvre multidisciplinaire et analyse les nombreuses influences étrangères, surtout nord-américaines, qui ont modelé ses pièces. Le grand poète québécois est souvent cantonné au style de la chanson francophone, alors que son héritage va bien au-delà. Luc Bellemare, spécialiste de l’histoire de la musique au Québec, Jean-Pierre Sévigny, chercheur et historien, et Danick Trottier, professeur de musicologie à l’UQAM, nous invitent à réécouter avec des oreilles neuves cette œuvre magistrale. Leur ouvrage, qu’ils considèrent le plus complet sur le sujet, aide à comprendre l’origine du succès de Félix.»
, ContinuitéPeur rouge (La)
« ce livre ne tombe pas dans les jugements à l’emporte-pièce qui visent à susciter un sentiment de supériorité du lecteur face aux élites du passé. Cette objectivité méthodologique nous permet de mieux juger par nous-mêmes de la justesse des mesures mises en place pour protéger le Québec et le Canada du communisme. […] La Peur Rouge est un livre très intéressant et j’en suggère ardemment la lecture. »
Francis Denis, Le VerbeInfographies.quebec
« Voilà un recueil qui surprend autant par sa présentation à la fois attrayante, accessible, riche et rigoureuse! Cette véritable œuvre de génie, effervescente, époustouflante, voire stupéfiante saura ravir et répondre aux questions de tous ceux qui ouvriront ce coffre aux trésors.»
Jeannine Ouellet, Histoire QuébecSite archéologique du palais de l'intendant à Québec (Le)
« Ce livre qui fourmille d’informations et d’illustrations les plus diverses s’avère une œuvre incomparable permettant de découvrir la grande et la petite histoire de Québec et de sa région depuis des temps immémoriaux! À lire absolument! »
Jeannine Ouellet, Histoire QuébecVaugeois-Frandeboeuf de la Bretagne à la Mauricie (Les)
« Dans Les Vaugeois-Frandeboeuf de la Bretagne à la Mauricie, l’enquête rigoureuse, indiscrète et implacable de Nicole Mauger révélera d’autres secrets de leur vie précédant leur départ pour la Nouvelle-France. À ne pas manquer! »
Jeannine Ouellet, Histoire QuébecÀ l'assaut de la Mauricie, 1858-1919
« Étude extrêmement bien étoffée de l’histoire d’une famille française débutant au milieu du xixe siècle! Aux sources historiques, notariales et généalogiques consultées habituellement se sont ajoutées les nombreuses notes tirées d’articles de diverses publications de l’époque. »
Jeannine Ouellet, Histoire QuébecPromenade en Enfer
« Abondantes références, quelques suggestions de lecture et de nombreuses illustrations permettent d’en savoir davantage sur cette collection bannie et pourtant préservée. En avant-propos, l’autrice se dit “subjuguée, hors du temps, plongée dans l’exploration de cette étonnante section et absorbée par la lecture de ces textes prohibés”. Puissent les lecteurs éprouver autant d’euphorie devant le récit de ses découvertes. »
Jeannine Ouellet, Histoire QuébecWake up mes bons amis!
« Dans Wake up mes bons amis !, Mathieu Bureau Meunier propose d’analyser une fraction de l’oeuvre du cinéaste de génie, Pierre Perrault. En visionnant les cinq premiers longs métrages de Perrault (Pour la suite du monde, Le règne du jour, Les voitures d’eau, Un pays sans bon sens et L’Acadie, l’Acadie ?!?), Bureau Meunier entend extraire l’idée que se fait le réalisateur de la nation québécoise dans la décennie 1960.»
Alexis Tétreault, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleFélix Leclerc
« On trouve dans cet ouvrage douze études et trois entrevues intercalées comme des interludes dans une pièce musicale, des contributions éclai- rantes, parfois très pointues, qui nous font apprécier l’œuvre de Félix sous différents angles. [...] Pris dans leur ensemble, ces actes de colloque sont pertinents et fouillés, ils jettent la lumière qu’il faut sur les multiples visages et voix de l’écrivain Félix Leclerc, prince des nuées en quelque sorte, et qui sur les planches de la culture standardisée d’aujourd’hui continue de hanter la tempête.»
Pascal Chevrette, Les Cahiers de lecture de L’Action nationaleOlivier-Elzéar Mathieu
« Ce livre, écrit par un professeur émérite de l’Université Laval, où il a enseigné l’histoire, est une œuvre très fouillée. [...] on découvre les nombreuses obligations qui furent siennes, les personnes rencontrées, les amitiés créées et les liens formés avec les décideurs politiques et ecclésiaux. [...] J’ai particulièrement apprécié la partie relatant son épiscopat à Régina de 1911 à 1929. il fonde un diocèse en Saskatchewan, dans une province nouvelle dont la création remonte seulement à 1905. nous retrouvons toutes les questions et les luttes auxquelles Mgr Mathieu a été confronté. le fait francophone dans l’ouest canadien, la lutte des Irlandais pour avoir un évêque anglophone, la question des écoles catholiques et ce que les francophones de cette partie du pays ont eu – et ont encore bien souvent – à vivre. »
Daniel Gauvreau, Pastorale QuébecPeur rouge (La)
« Une lecture intéressante, intelligente et bien documentée. »
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMPeur rouge (La)
« L’ouvrage d’Hugues Théorêt est une bonne introduction à cette facette de l’histoire canadienne française. »
Rémi Tremblay, PrésentGrain de sable (Le)
« Avec Le grain de sable, ValMo nous offre des illustrations à la fois magnifiques et poignantes d’un grand pouvoir de suggestion. En plus de transmettre avec beaucoup de réalisme les émotions vécues par des personnages, elle varie les cadrages, les plans et les séquences avec une qualité narrative presque cinématographique. L’illustratrice propose des ambiances qui servent le propos en s’appuyant d’une palette de couleurs qui tantôt s’anime des couleurs chaudes des tropiques et tantôt s’assombrit avec la dureté de l’histoire, en exploitant l’ombre et les contrastes. En bref, ce livre mérite d’être ouvert pour constater le travail de recherche derrière les illustrations et l’interprétation de chaque scène. »
, Prix illustration Jeunesse du Salon du livre de Trois-RivièresPeur rouge (La)
Une « éclairante et accessible synthèse de l’histoire de l’anticommunisme au Québec. […] Citations savoureuses et iconographie à l’appui, Théorêt montre combien la revue L’œuvre des tracts et l’hebdomadaire L’Ordre nouveau, notamment, ont attaqué les communistes d’une plume fielleuse. Leur propagande dénigrante associait communisme et athéisme. La solution pour juguler la “peur rouge” ? La religion, “principal rempart qui préserve l’ouvrier canadien-français de [l’atteinte du communisme].” »
Sébastien Vincent, Le DevoirPeur rouge (La)
« Le communisme a déjà semé l’effroi dans nos contrées. Dans La peur rouge. Histoire de l’anticommunisme au Québec, 1917-1960 (Septentrion, 2020, 218 pages), l’historien Hugues Théorêt raconte ces frayeurs. »
Louis Cornellier, Le DevoirDernier assaut (Le)
« M. Bertrand a souhaité mettre en lumière la vie de cet homme qui l’inspire depuis son adolescence. Jean Brillant fait partie des trois seuls soldats canadiens français qui ont reçu la Croix de Victoria, attribuée aux soldats de l’armée britannique et du Commonwealth qui posaient un acte de bravoure extrême. Avec cet ouvrage, Luc Bertrand a voulu faire connaître davantage l’histoire de Jean Brillant puisqu’il remarque que dans le Canada français, les héros de guerre ne sont pas très reconnus. »
Katy Desrosiers, Les 2 RivesMétier critique
« Catherine Voyer-Léger dresse un portrait de la critique au Québec, c’est un portrait juste, éclairant, et pertinent dans la société actuelle. [...] Elle nous amène à réfléchir sur la portée de la critique »
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMPeur rouge (La)
« Un livre intéressant […] C’est toute l’histoire de l’anticommunisme au Québec. […] Une petite plaquette qui se lit très bien. »
Paul Ouellet, Radio-Réveil (CIQI-FM)Peur rouge (La)
« Dans son livre intitulé La peur rouge, l’auteur campivallensien raconte en détail comment le gouvernement Duplessis a déployé une politique de propagande anticommuniste, qui s’est notamment concrétisée par l’adoption de la Loi protégeant la province contre la propagande communiste, mieux connue sous le nom de “loi du cadenas”. […] L’auteur tisse son propos en l’intégrant dans le contexte politique international de l’époque, d’abord marqué par la Révolution soviétique, la Seconde Guerre mondiale, puis la Guerre froide. […] Mais c’est aussi au fil de recherches rigoureuses dans les archives des services de police qu’il explique comment l’application de la loi du cadenas se traduisait sur le terrain, avec la bénédiction des autorités religieuses avec qui Duplessis entretenait des liens étroits. »
Mario Pitre, Le Journal de Saint-FrançoisMétier critique
« Parue aux éditions du Septentrion il y a quelques semaines, la nouvelle édition revue et augmentée de Métier critique de Catherine Voyer-Léger réinterroge le métier de critique culturelle et tous les éléments avec lesquels il doit jongler. »
Emmy Lapointe, Impact CampusVaugeois-Frandeboeuf de la Bretagne à la Mauricie (Les)
« Quelle histoire! Une enquête rigoureuse est menée pour résoudre une intrigue qui se cache au sein même de la famille Vaugeois-Frandeboeuf. Tout sera scruté finement : la vie privée des uns et des autres, les legs testamentaires, les finances, bref, toute la vie des ancêtres français de cette illustre famille, bien connue des Trifluviens. Pour les passionnés d’histoire, il faut lire ce livre passionnant qui ne laisse rien passer. »
Marie-Andrée Brière, Revue HéritageCurieuses histoires de plantes du Canada, tome 4
« Ce quatrième tome est dédié aux plantes du Québec. Nous les découvrons à travers 34 histoires mettant au premier plan des personnes, des institutions de recherche et d’enseignement qui se préoccupent des végétaux destinés tant au milieu agricole, qu’alimentaire, ornemental, médicinal, forestier et scientifique. Cet ouvrage nous fait faire des découvertes inattendues nous permettant de mieux connaître et comprendre l’histoire de notre territoire. À lire avec grand intérêt. »
Marie-Andrée Brière, Revue HéritageL’Art de l'enquête criminelle
« Cet ouvrage très spécialisé nous ouvre les dessous des techniques d’enquête criminelle. Il s’adresse à des spécialistes du domaine, ou du moins, à des gens qui œuvrent dans le milieu policier ou judiciaire. Pourtant, il a attiré mon attention et a soulevé la question des processus d’enquêtes généalogiques.[...] Cet ouvrage est passionnant même pour des individus n’œuvrant pas dans la sphère policière ou judiciaire. C’est un outil méthodologique qu’il faut savoir adapter à nos besoins. À lire pour parfaire nos méthodes d’investigation! »
Marie-Andrée Brière, Revue HéritagePeur rouge (La)
« Une lecture absolument fascinante parce que c’est de l’histoire tellement proche de nous. Il faut absolument s’y replonger. »
Michel Désautels, Désautels (Radio-Canada)Métier d'intendant en France et en Nouvelle-France au XVIIIe siècle (Le)
« Dans cette thèse publiée, Marie-Eve Ouellet en fait ressortir les fondements [de l’intendance canadienne] pour remettre en question le particularisme colonial et lui redonner sa place au côté des intendances métropolitaines. […] L’ouvrage met en lumière les documents de l’intendance. Il témoigne et transmet le goût de l’archive de Marie-Eve Ouellet. […] Il offre aux lecteurs un nouveau regard sur cette institution fort commentée de l’histoire du Québec et pourrait susciter des vocations par sa mise en valeur des archives. »
Sébastien Didier, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseFormation d'une culture élitaire dans une ville en essor (La)
« l’auteure parvient à décrire de manière vivante et juste les rituels qui rythment la vie sociale de l’époque, qu’ils soient attachés au calendrier religieux ou non. […] Le dépouillement des journaux locaux donne une belle profondeur à cette trame et l’analyse des correspondances des familles Tellier et Baby permet à l’auteure de mettre en évidence l’instrumentalisation de ces pratiques rituelles par les élites locales. […] l’auteure livre aux spécialistes un large éventail de représentations de la petite bourgeoisie au tournant du XXe siècle, fruit d’un imposant travail de dépouillement des imprimés de l’époque. L’étude réserve également une place accrue à la dimension matérielle de la culture élitaire, ouvrant de belles perspectives. […] en liant les approches propres à l’histoire, à l’ethnologie et à l’architecture et en prenant le pari des enquêtes de terrain, l’auteure propose une lecture stimulante de la formation de la culture élitaire dans un contexte régional. »
Jean-René Thuot, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseContribution des pionniers de la ville de Paris au peuplement du Canada (La)
Un livre « très intéressant pour les informations fines et souvent inédites qu’il livre sur les lieux d’origine des ancêtres parisiens et pour la précision de leurs biographies. […] cet ouvrage apporte une abondance de renseignements intéressants et inédits sur les ancêtres parisiens ayant contribué au peuplement du Canada. »
Robert Larin, Revue d’histoire de l’Amérique françaiseDu Saint-Laurent au Rhin
« On avait déjà eu l’occasion de lire des extraits du journal d’Alphonse Couture. La publication intégrale est néanmoins un heureux événement : elle ajoute à notre connaissance “d’en bas” du premier conflit mondial […] Couture a beaucoup à nous dire sur des aspects primordiaux de l’effort de guerre, en l’occurrence la logistique, mais aussi sur la vie derrière le front, et pas seulement la vie de soldat »
Yves Tremblay, Revue d’histoire de l’Amérique françaisePierre Miville
« Tout au long de ma lecture, j’ai appris plein de choses intéressantes et éducatives sur l’héritage de la descendance Miville, Minvielle, Mainville, Miville-Deschênes. [...] Une bonne lecture que j’ai appréciée, je vous recommande ce récit biographique qui est très accessible, puisque la plume de Raymond Ouimet est facile à lire.»
Martine Lévesque, Les Mille et une pages LMLa Noël au temps des carrioles
« Deux jeunes historiennes québécoises invitent le lecteur à une promenade dans la vieille ville de Québec sur le thème du temps des fêtes à Québec du XVIIe au XXe siècle. Ce petit ouvrage accompagnera agréablement tout voyageur en visite dans la ville, en toutes saisons, d’autant que le petit format permet de le glisser facilement dans la poche. »
Christiane Peyronnard, La CliothèqueMétier critique
« un ouvrage de référence »
Manon Dumais, Le DevoirGrain de sable (Le)
« Les illustrations de Valmo sont puissantes, crues, saisissantes de réalisme. Elles laissent parfaitement émaner la détresse de l’enfant esclave. Le tout s’arrime magnifiquement bien avec les mots et les expressions soigneusement choisies par l’auteur qui ne sont pas sans rappeler l’écriture poétique exigée par la création musicale de style rap.»
Benita Kanozayire et Lucie Béchard, J'enseigne avec la littérature jeunesseGrain de sable (Le)
« Si l’ouvrage est destiné aux jeunes à partir de huit ans, le propos n’en est pas moins universel et devrait intéresser les lecteurs plus âgés. On apprécie particulièrement le glossaire proposé à la fin du livre pour expliquer aux jeunes lecteurs des termes comme case, calebasse, case ou encore les coups de crayon de l’illustratrice et auteure Valérie Morency alias ValMO qui permet de s’imaginer l’époque.»
, Touki Montréal